RDC : des troupes de la SADC ont une mission offensive pour « récupérer les territoires » occupés par M23 (FARDC) Contrairement aux troupes de l’EAC, des troupes de la SADC (Communauté de développement d'Afrique australe) ont un mandat offensif, a précisé ce jeudi 16 janvier, le lieutenant-général Fall Sikabwe, coordonnateur des opérations militaires congolaises au Nord-Kivu, province en partie occupée depuis deux ans par le M23 ("Mouvement du 23 mars"), soutenu par le Rwanda. Selon cet officier congolais cité par l'AFP (Agence Française de Presse), ce sont des professionnels, des gens bien équipés, bien entraînés, des unités capables de renverser la situation sur le terrain. De ce fait, Kinshasa compte sur cette force d'Afrique australe en cours de déploiement dans l'est de la République démocratique du Congo pour l'aider à "récupérer les territoires" occupés par la rébellion du M23. Depuis mi-décembre, dans la plus grande discrétion, des troupes d'Afrique du Sud, de Tanzanie et du Malawi arrivent à Goma dans le cadre de cette opération. La SAMIDRC succède à l'opération menée pendant un an par la Communauté d'Afrique de l'Est (EAC), dont le mandat a pris fin à la demande de Kinshasa qui lui a reproché de cohabiter avec les rebelles du M23 plutôt que de les combattre. Le 4 janvier, la SADC avait indiqué que la SAMIDRC avait pour objectif de « faire face à l'instabilité et à la détérioration de la situation sécuritaire dans l'est de la RDC »RDC : des troupes de la SADC ont une mission offensive pour « récupérer les territoires » occupés par M23 (FARDC) Contrairement aux troupes de l’EAC, des troupes de la SADC (Communauté de développement d'Afrique australe) ont un mandat offensif, a précisé ce jeudi 16 janvier, le lieutenant-général Fall Sikabwe, coordonnateur des opérations militaires congolaises au Nord-Kivu, province en partie occupée depuis deux ans par le M23 ("Mouvement du 23 mars"), soutenu par le Rwanda. Selon cet officier congolais cité par l'AFP (Agence Française de Presse), ce sont des professionnels, des gens bien équipés, bien entraînés, des unités capables de renverser la situation sur le terrain. De ce fait, Kinshasa compte sur cette force d'Afrique australe en cours de déploiement dans l'est de la République démocratique du Congo pour l'aider à "récupérer les territoires" occupés par la rébellion du M23. Depuis mi-décembre, dans la plus grande discrétion, des troupes d'Afrique du Sud, de Tanzanie et du Malawi arrivent à Goma dans le cadre de cette opération. La SAMIDRC succède à l'opération menée pendant un an par la Communauté d'Afrique de l'Est (EAC), dont le mandat a pris fin à la demande de Kinshasa qui lui a reproché de cohabiter avec les rebelles du M23 plutôt que de les combattre. Le 4 janvier, la SADC avait indiqué que la SAMIDRC avait pour objectif de "faire face à l'instabilité et à la détérioration de la situation sécuritaire dans l'est de la RDC". "Ce sont des professionnels, des gens bien équipés, bien entraînés, des unités capables de renverser la situation sur le terrain", a-t-il ajouté, après une réunion conjointe avec des officiers de la force d'Afrique australe, appelée SAMIDRC, au Centre de coordination des opérations (CCO) installé à l'aéroport de Goma, chef-lieu du Nord-Kivu. Les militaires sud-africains n'ont toutefois pas pris la parole à l'issue de cette rencontre et aucune précision n'a été donnée sur l'effectif et l'affectation précise de la force de la SAMIDRC, dont le déploiement avait été décidé lors d'un sommet de la SADC en mai dernier. « Ce sont des professionnels, des gens bien équipés, bien entraînés, des unités capables de renverser la situation sur le terrain », a-t-il ajouté, après une réunion conjointe avec des officiers de la force d'Afrique australe, appelée SAMIDRC, au Centre de coordination des opérations (CCO) installé à l'aéroport de Goma, chef-lieu du Nord-Kivu. Les militaires sud-africains n'ont toutefois pas pris la parole à l'issue de cette rencontre et aucune précision n'a été donnée sur l'effectif et l'affectation précise de la force de la SAMIDRC, dont le déploiement avait été décidé lors d'un sommet de la SADC en mai dernier.
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