Arrêté pour soupçon de viol sur mineure, Diomi Ndongala dit ne s'être contenté que des préliminaires
"Qui a bu boira", dit-on en français, telle est l'image que l'opinion se fait d'Eugène Diomi Ndongala. Celui-ci a passé la nuit de vendredi 16 à ce samedi 17 juillet au cachot de Camp Lufungula à Kinshasa, soupçonné de viol sur mineure.
Lors de son audition, à en croire plusieurs sources rapportées également par Top Congo, le président du parti Démocratie Chrétienne a avoué les faits lui reprochés. Il révèle ne s'être contenté que des préliminaires avec une fille de 14 ans, en échange de 200$ exigés par cette dernière.
Eugène Diomi Ndongala est qualifié comme récidiviste, car ayant été condamné à 10 ans de prison en 2014 pour la même infraction, avant d'être libéré 5 ans plus tard sous certaines conditions négociées du fait de son statut d'homme politique.
Lors de sa sortie de la prison en 2019, sous Félix Tshisekedi, il lui était interdit de sortir de la ville de Kinshasa. Considéré comme "délinquant sexuel" par Alexis Tambwe Mwamba, alors ministre de la justice, Eugène Diomi Ndongala s'est vu interdit également de se trouver près d'une frontière ou à moins de 500 mètres d'une école de jeunes filles.
LV
Laissez-nous un message